Jean-Claude Golvin

Evocation symbolique de l’au delà : les Champs Elysées

Type

Dessin

Technique

Aquarelle, Encre noire, Graphite, Papier vélin de fort grammage, Peinture dorée

Dimensions

89,9 x 126,1 cm (Hors tout) 71,5 x 119 cm (Dessin)

Période

Antiquité

Lieu / Thématique

Lugdunum (Lyon)

Numéro de l'œuvre

735

Présentation :

Vue frontale des Champs-Elysées ou l’île des Bienheureux. Le dessin est au format paysage. Il est organisé à l’intérieur d’un cadre tracé à l’encre. Des traces de graphite sont visibles dans les marges. Des inscriptions figurent au verso.
Il s’agit dans la mythologie d’un lieu pour le repos après la mort. Ce lieu paradisiaque est un jardin verdoyant et luxuriant. Un bassin prend place au premier plan. Le jardin se développe à l’arrière-plan, derrière un parapet. On distingue des arbres fruitiers, des fleurs, des oiseaux. Une fontaine se dresse au centre du dessin devant un arbre autour duquel s’enroule un serpent.
Le dessin s’inspire pour l’essentiel de la paroi nord de la Villa de Livie à Prima Porta, l’arbre central avec le serpent est tiré des décors de la maison du Verger à Pompéi et la fontaine provient de la Villa de Poppée à Oplontis.
Il a été réalisé pour l’exposition au Musée Gallo-Romain à Lyon en 2009-2010.

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